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Actus

Entrevue croisée avec l’équipe Interopérabilité – Connectathon 2023

By 25 septembre 2023No Comments

Alors que notre #DreamTeam HOPPEN se prépare à participer au Connectathon 2023, découvrez un premier avant-goût de ce qui vous attends sur le salon, grâce à nos experts !

Pouvez-vous vous présenter brièvement et expliquer en quoi consiste votre métier au sein du Groupe HOPPEN ?

Gwenaëlle Fleury : Je suis Responsable produit sur les sujets d’interopérabilité et d’intégration. Je m’occupe de définir les évolutions des produits en fonction des changements de standards et des dernières innovations concernant les échanges de données de santé entre outils.

 

Jordan Chiono : Je suis Responsable du pôle développement d’HOPPEN.

 

Marion Poulain : Je suis en charge des produits Patient Management System (PMS), de la souscription autonome sur écran et borne d’accueil (VAD) et du Portail de remboursement. En tant que Product Owner, mon but est d’accueillir et de comprendre les besoins des différents demandeurs, de les traduire en fonctionnalités à valeur ajoutée, pour que les équipes de développement puissent leur donner vie.

« Derrière l’interopérabilité, il s’agit de synchroniser un maximum d’informations, de santé dans notre cas. »

— Gwenaëlle Fleury,
Responsable Interopérabilité & Intégration chez HOPPEN.

Qu’est-ce que l’interopérabilité et comment fonctionne-t-elle ?

Gwenaëlle : L’interopérabilité, c’est la capacité des systèmes à communiquer entre eux. Grâce à des normes et des standards d’échanges, les différents outils présents dans un système d’information peuvent s’envoyer des données.

 

Marion : L’interopérabilité est un principe basé sur des normes, des protocoles et des formats d’échanges qui nous permettent d’échanger des données avec les acteurs du marché de façon facilitée et homogène.

 

Gwenaëlle : Je complèterais en disant que c’est la capacité des systèmes à communiquer entre eux. Grâce à des normes et des standards d’échanges, les différents outils présents dans un système d’information peuvent interagir.

 

Jordan : Si l’on parle plus spécifiquement de la santé numérique, il s’agit de la communication entre les différents logiciels des établissements de santé et les nôtres. L’interopérabilité permet l’échange et la mise à jour des données qui vont permettre le suivi patient – de la mise à jour des informations patient jusqu’aux rendez-vous, en passant par des comptes rendus, etc.

A quels enjeux de notre système de santé répond l’interopérabilité ?

Gwenaëlle : Dans le cadre des établissements de santé, les données envoyées concernent les patients suivis et permettent de faciliter leur venue et leur séjour.

En effet, l’échange automatique de données permet :

  • de faire gagner du temps aux soignants qui n’ont pas besoin de renseigner les données à la main ;
  • d’éviter les erreurs de ressaisie et donc de faciliter l’identito-vigilance ;
  • de synchroniser les informations entre les nombreux outils numérique d’un système d’information qui tend toujours à s’accroître, notamment avec des outils permettant le suivi des patients à distance.

Jordan : L’interopérabilité permet d’assurer une amélioration des soins aux patients, un gain de temps et d’efficacité, une sécurité sur l’échange des données, une optimisation des ressources au sein de l’établissement.

 

Marion : L’enjeu majeur est de faciliter la vie du patient et de fluidifier son suivi au cours de son séjour.  L’intérêt est aussi de faciliter le quotidien – et donc d’améliorer la qualité de vie du personnel soignant et d’accueil. Tout ceci en limitant le temps de traitement et de saisie d’informations déjà communiquées par le patient au sein de l’établissement et en limitant les erreurs via une homogénéisation de l’information transmise.

Comment nos équipes travaillent-elles ensemble pour relever ces défis ?

Marion : Les équipes en charge sont formées et maîtrisent les normes utilisées, ce qui leur permet de les appliquer dans le cadre des développements, pour fournir un produit adapté aux usages du terrain et générique, dans le but d’être compatible avec un maximum d’environnements.

 

Gwenaëlle : L’interopérabilité est un sujet impactant pour chaque équipe du groupe HOPPEN et les collaborateurs sont donc sensibilisés et formés pour mieux en appréhender les enjeux.

 

Jordan : Nous réalisons des réunions de synchronisation concernant les différentes demandes d’interopérabilité de nos clients. Nous participons à des événements comme le Connectathon ou le Projectathon pour valider et perfectionner notre couverture avec les différents éditeurs du marché.

 

Gwenaëlle : C’est pour faciliter le travail des équipes que nous y participons, cela nous permet de garantir que nos échanges de données sont conformes aux standards en vigueur, en France et à l’international.

Quelles sont les clés du succès de l’interopérabilité au sein du Groupe HOPPEN ?

Gwenaëlle : Pour une interopérabilité fluide et pratique, il faut pouvoir garantir le respect des normes, mais aussi avoir une marge d’adaptabilité pour répondre aux besoins des différents établissements et outils avec lesquels nous souhaitons communiquer.

 

Jordan : Nos produits sont donc réfléchis et pensés pour être interopérables avec les éditeurs de l’écosystème. Nous sommes entourés d’expert sur le sujet, ce qui permet de faire respecter les normes et les protocoles conseillés.

 

Marion : Les 2 clés du succès sont donc : le bon respect des normes et la mise en place d’un système de configuration assez fin pour coller aux pratiques et besoins de chaque établissement.

 

Jordan : Ce qui nous permet d’assurer notre engagement : accompagner les patients tout au long de leur parcours.

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