Portrait collaborateur : Anne-Gaëlle Melot, Responsable du développement de la filière Bien Vieillir chez HOPPEN

Au fur et à mesure de l’année, HOPPEN vous fait découvrir les hommes et les femmes derrière le Groupe. Aujourd’hui, c’est au tour d’Anne-Gaëlle, Responsable du développement de la filière Bien Vieillir chez HOPPEN, de se présenter dans notre portrait collaborateur !

Quelle est ta mission au sein du Groupe HOPPEN ?

Je suis Responsable du développement de la filière Bien Vieillir, pour le Groupe HOPPEN.

Ton métier, c’est quoi pour toi ?

Mon métier ? C’est un métier de Chef d’Orchestre. Du recensement des besoins à l’idéation, en passant par la confrontation et l’expérimentation et enfin l’industrialisation des solutions dédiées au Bien Vieillir, j’anime et coordonne les différentes parties prenantes, et porte les solutions sur le Marché.

Mon métier, c’est aller sur le terrain, comprendre les problématiques rencontrées par nos aînés, les aidants, les soignants. C’est anticiper les grands enjeux de demain, veiller à ce que les solutions que nous développons, contribuent à faire évoluer et améliorer le système actuel, le bien-être et la santé des personnes âgées.

Mon métier, c’est redonner du temps de soin aux soignants en les déchargeant de l’Administratif, c’est prévenir leurs risques psycho-sociaux et améliorer leur qualité de vie au travail. C’est redonner de l’autonomie et de la dignité aux personnes âgées en leur permettre de rester plus longtemps à leur domicile, tout en bénéficiant de sécurité et de suivi médical. C’est aussi rompre leur isolement social et stimuler le cognitif.

Qu’est ce qui te tient à cœur dans ton métier ?

Ce qui est primordial pour moi, c’est l’éthique. Dans chacune de mes actions, je pense à ma belle-maman de 89 ans, et mes parents (76 et 70 ans). C’est aussi l’ADN de l’entreprise et de toutes les personnes qui la composent.

La perte d’autonomie et de la dignité, la vieillesse, la vulnérabilité, ce sont des sujets qui nous toucheront tous un jour. Nos parents d’abord, nous, puis nos enfants. Je suis heureuse de pouvoir contribuer à ma façon, à améliorer ce moment de vie délicat. Ça a du sens.