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On parle d’HOPPEN dans le Mensuel de Rennes

Le Mensuel de Rennes HOPPEN

Merci au Mensuel de Rennes pour leur article sur la e-santé rennaise et la mise en avant de HOPPEN !

Mise en avant d’HOPPEN dans le Mensuel  de Rennes
E-santé : la transition à marche forcée

Alors que l’hôpital français est en crise, les innovations des sociétés rennaises de la e-santé trouvent un nouvel écho auprès des professionnels et des autorités sanitaires, jusqu’ici difficiles à convaincre.

On pourrait croire qu’ils se sont concertés avant de nous rencontrer, chacun de leur côté. Mais non. Au mot près, Matthieu Mallédant et Goulwen Lorcy, tous deux à la tête d’une entreprise spécialisée dans la santé numérique, nous ont fait le même constat, à quelques jours de différence. L’hôpital français a dix ans de retard sur le reste de l’économie en matière de digital. Rendez-vous compte, s’étonnent-ils : certaines informations continuent d’être échangées par fax. Ces dernières années, la poignée de start-up rennaises de la e-santé ont parfois eu la sensation de prêcher dans le désert. Mais la crise sanitaire semble avoir eu raison de beaucoup de réticences. À l’hôpital, la transition numérique a connu un coup d’accélérateur sans précédent, poussée par les circonstances.

[…]

Cet intérêt accru pour les solutions numériques, Matthieu Mallédant l’a lui aussi constaté. Avant la crise, c’est son entreprise qui devait démarcher les établissements de santé. Aujourd’hui, ce sont eux qui appellent. Sa société HOPPEN, auparavant Télécom Santé, s’est donnée pour but de digitaliser l’organisation des hôpitaux. Tout y passe, ou presque : orientation des visiteurs grâce à des panneaux interactifs, écrans tactiles dans les chambres alliant suivi du patient et services de divertissements pour lui, lits connectés

À première vue, une flopée de gadgets avec, à la rigueur, un intérêt médical. Mais l’entrepreneur, ex-salarié d’Orange, l’assure : ces inventions permettent d’améliorer le quotidien du personnel. Dans certains de ses hôpitaux clients, les infirmiers font 40% de pas en moins. Le temps auprès des malades est passé de 35 à 50%.

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